Titre : | Le cinéma français fait ses comptes (2013) |
Auteurs : | Marc Chevallier, Auteur |
Type de document : | Article : texte imprimé |
Dans : | Alternatives Économiques (N°321, février 2013) |
Article en page(s) : | P.38-39 |
Langues: | Français |
Sujets : |
IESN Cinéma ; Financement ; Fiscalité ; France ; Impôts et taxes ; Internet |
Résumé : |
Le soutien apporté au cinéma français a permis d'en faire une industrie puissante. Malgré des effets pervers et des inquiétudes sur l'avenir.
Recettes en salles catastrophiques, acteurs surpayés, films de plus en plus subventionnés : rebondissant sur l'affaire Depardieu dans une tribune parue fin décembre [1], le producteur et distributeur Vincent Maraval a dressé un bilan peu flatteur du septième art dans l'Hexagone. A nuancer. A écouter le fondateur de la société de production et de distribution Wild Bunch, 2012 aurait été un désastre commercial pour le cinéma français. Malgré une légère décrue de la fréquentation des salles hexagonales après les résultats records enregistrés en 2011, grâce notamment à Intouchables et ses 16,5 millions d'entrées, les films français n'ont pourtant pas démérité. (Extrait d'Alternatives économiques, n°321, février 2013, p.38) |
Exemplaires (1)
Localisation | Section | Support | Cote de rangement | Statut | Disponibilité |
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Bibliothèque IESN | _Périodiques | Périodique | 33 AE 321 | Consultation possible sur demande | Exclu du prêt |