Résumé :
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"En écoutant Christine Mahy à l'Assemblée générale de la Fédération des CPAS en janvier dernier défendre ces mêmes CPAS, au nom des organisations de lutte contre la pauvreté qu'elle représente dans le Forum wallon, j'avais un sentiment étrange. Comment donc ? Les gens de peu, qui subissent trop souvent la violence des institutions, validées par les regards réprobateurs, soumis au joug de l'état social actif, culpabilisés par les discours le plus souvent infondés sur la fraude sociale, courbés sous les contrôles, disqualifiés par les exclusions, quoi, ceux-là défendent donc les CPAS ?" (Dutrieux, 2015, p. 10)
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