Résumé :
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Après avoir appréhendé la nature, les caractéristiques psychologiques et les fonctions de l'institution, l'auteur s'attache à relever les facteurs de rupture, d'impacts traumatiques et de souffrance propre à la gérontologie aussi bien pour les patients que pour les soignants ou les aidants. Afin de remédier à cette négativité œuvrant en institution, fruit de la pulsion de destruction ou de mort, il propose le travail psychique groupal qui redonne sens grâce à la communication verbale, souvent écrasée, tout en restaurant le narcissisme, malmené. C'est ainsi qu'il recourt au processus de résilience fait du triptyque « N.M.O. » dont les paramètres - narcissisme, mentalisation, objet - en interaction, et tous positifs, autorisent alors le dépassement de la souffrance.
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