Résumé :
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Le bénévolat d’accompagnement auprès des personnes gravement malades, en fin de vie, ou dans des situations de grande dépendance, semble peu connu du grand public, voire de beaucoup de services hospitaliers, ou d’établissements médico-sociaux. C’est le constat que l’on peut faire quand on a choisi d’entrer dans ce type d’engagement. Comment le rendre plus visible ou comment en parler ? Le domaine dans lequel il intervient, avec l’angoisse devant la mort en perspective, est un frein incontournable pour certains ; pour d’autres, il peut être un moyen de dépassement et d’accomplissement de soi. Pour d’autres encore, cela peut être une recherche de sens face à l’injustice, l’inégalité devant la vie et la mort, et l’absurdité de l’existence.
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