Les malades d’Alzheimer, du fait de leurs dépendances cumulées, posent des problèmes de vivre-ensemble, dans la cité ou dans les lieux d’accueil tels qu’ils leurs sont proposés aujourd’hui. Nous proposons de questionner d’un point de vue éthique les notions de vivre ensemble, de lieux, d’habitats et de prise en soins en apportant des propositions pour que les mots hospitalités, confiance, bienveillance puissent nourrir les réflexions politiques, soignantes et citoyennes.