Résumé :
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La maladie d’Alzheimer va avec son lot d’obstacles à la communication. Pour les dépasser, il faudrait remettre cette maladie à la place où elle aurait dû rester : un syndrome d’Alzheimer. Ainsi nommée, la voie devient moins difficile pour une communication centrée sur l’adaptation aux symptômes liés aux baisses cognitives. Le deuxième obstacle à franchir est celui des autres symptômes «non cognitifs». Ces symptômes déconcertants peuvent être identifiés et mesurés grâce à un instrument simple permettant d’aller au-delà d’une prise de température. La circulation de la parole et la réflexion en équipe permettent de savoir ce qu’il ne faut pas faire. Elle permet surtout de construire des attitudes appropriées sur mesure. Les symptômes ayant été désamorcés, la communication peut alors s’ouvrir sur le meilleur, de la simple diversion flash jusqu’au divin dans l’humain : la création et l’art-thérapie.
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