Titre : | L‟évaluation de la douleur chez les patients adultes en état de conscience minimale |
Auteurs : | Chloé Lamy ; Margaux Neirinckx ; Valentine Péters ; Bénédicte Simonet, Promoteur du mémoire, TFE |
Type de document : | site web ou document numérique |
Année : | 2020 |
Format : | 19 p. |
Note générale : | L'accès complet à la ressource est réservé aux étudiants et membres du personnel de la Haute École de Namur-Liège-Luxembourg et nécessite une identification sur le catalogue en ligne. Configuration requise : navigateur internet |
Langues: | Français |
Sujets : |
Paramédical (MeSH) Douleur ; Échelle de Glasgow ; État végétatif persistant ; Gestion de la douleur ; Mesure de la douleur ; Perte de conscience ; Relations entre professionnels de santé et patients |
Résumé : |
Introduction : La douleur est un sujet fréquemment étudié ces dernières années. Il est démontré dans plusieurs études que l‟évaluation et la gestion de celle-ci ne sont pas toujours réalisées adéquatement. Qu‟en est-il des patients en état critique et non communicants ? Plus particulièrement pour les patients en état de conscience minimale.
Théorie de référence : Le modèle d‟Ida Jean Orlando appelé ”Processus de soins infirmiers délibératifs” a permis de structurer les différentes parties de ce développement. De fait, cette théorie de soins énonce que chacun des comportements du patient peut être un signe de douleur qu‟il soit verbal ou non. C‟est le rôle du soignant d‟interpréter les signes et de définir les besoins du patient. Discussion : Il est important de comprendre et connaitre le processus physiopathologique présent chez un patient en ECM. Les praticiens de la santé considèrent qu‟ils ne sont pas formés et informés suffisamment à la prise en soins de ce type de patients. La relation entre les soignants et leurs patients est donc primordiale car ceux-ci sont dépendants face à l‟expression de leur douleur. Il met donc en évidence l‟importance du rôle infirmier dans l‟évaluation de celle-ci, dans le but d‟éviter des répercussions négatives sur l‟état de santé des patients non-communicants. Neuf échelles ont été citées dans les différents articles analysés. Ceci met en évidence la multitude et la diversité des outils de mesure utilisés pour les patients en ECM. Toutefois, deux échelles sont ressorties comme étant les plus utilisées au sein des services accueillant ces patients : la CPS et la NCS. Conclusion : Ce sujet est très complexe pour de nombreuses raisons. Comme cité ci-dessus, il y a un manque de connaissances et de formations du personnel soignant. De plus, il est difficile d‟établir une relation entre le soignant et ce type de patients non-communicants alors que celle-ci est primordiale afin de comprendre les signes évocateurs de la douleur. Finalement, pour évaluer cette douleur, de nombreuses échelles sont mises à disposition des soignants. Cependant elles ont une grande part de subjectivité dans leurs protocoles d‟évaluation. |
Note de thèse : | Travail de fin d'études de baccalauréat : soins infirmiers : Namur, Haute École de Namur-Liège-Luxembourg : 2020 |
Section du TFE : | Soins infirmiers |
Exemplaires (1)
Localisation | Section | Support | Cote de rangement | Statut | Disponibilité |
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