Résumé :
|
"Lors du premier confinement, nous étions nombreux.ses à craindre une intensification des violences policières... Les mesures de confinement allaient doter la police d’un instrument répressif supplémentaire et les contrôles allaient certainement se concentrer sur la catégorie de la population qui est déjà la plus contrôlée en temps normal, à savoir les jeunes racisé.e.s des quartiers populaires. Discriminations d’autant plus criantes, quand on sait à quel point l’effort de confinement n’est pas le même pour un couple vivant dans une villa avec jardin à Uccle que pour une famille nombreuse vivant dans un appartement exigu en centre-ville." (Extrait de l'article)
|