Résumé :
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Le sigle LGBTI regroupe des personnes minoritaires en termes de préférence sexuelle (pour les LGB: lesbienne, gay et bisexuel(le)), d’identité de genre (pour le T de transgenre) et de caractéristique sexuelle (pour le I d’intersexuation). Il ne s’agit donc pas des mêmes personnes, même si leur combat de reconnaissance est commun. Entre le sexe morphologique, le sexe chromosomique, le sexe génétique et le sexe endocrinien, on ne sait plus auquel se référer pour penser ce qui détermine l’assomption subjective du sexe. Comment se positionner face à ces personnes en souffrance? Le point avec Aurore Dufrasne (Psychologue, Psychothérapeute, ASBL Genres Pluriels, une association œuvrant au soutien, à la visibilisation, à l’amélioration des droits et à la lutte contre les discriminations qui s’exercent à l’encontre des personnes transgenres et intersexes).
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