Résumé :
|
Les traitements néoadjuvants ont de plus en plus la cote en cas de mélanome de stade avancé, tandis que le problème du traitement adjuvant reste le peu d’amélioration de la survie globale et l’absence de biomarqueurs pronostiques. Dans ces conditions la frontière entre néoadjuvant et adjuvant semble s’estomper... Dans le même temps, de nouvelles voies thérapeutiques et associations se développent, et l’on verra que la combinaison d’un anti-LAG3 ou d’un anti-angiogénique avec un anti-PD-L1 a de l’avenir, au même titre que l’immunothérapie adoptive. Enfin, plusieurs études qui avaient montré des résultats intéressants (CheckMate 067, COLUMBUS et ABC) voient ces résultats perdurer à 5 ans, ce qui est particulièrement rassurant.
|