Résumé :
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L’évaluation psychologique du donneur vivant répond à des critères précis de réalisation et d’objectifs. Elle doit être organisée dans des conditions permettant la qualité des échanges et l’établissement d’un lien de confiance. Elle est l’occasion d’une information du patient sur les modalités de l’entretien en lui-même mais également, éventuellement, sur d’autres aspects de la démarche de don d’organe. Son objectif principal est une évaluation, à la recherche de contre-indications mais aussi, de façon plus large, l’exploration des motivations et de la nature de la relation avec le receveur. Elle aboutit à la rédaction d’un certificat de non-contre-indication. Par la suite, un suivi peut être mis en place, que la démarche ait abouti ou non. L’évaluation psychologique se doit donc d’être complète et objective, tout en étant respectueuse de l’autonomie de la personne. Les complications psychologiques après le don sont rares.
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