Résumé :
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"« Tu n’as pas le droit de dormir avec ton copain, c’est écrit dans le règlement » ; « Vous voulez avoir une chambre avec un grand lit ? OK mais si un jour vous n’êtes plus ensemble ? Et à nouveau ensemble ? etc. où va-t-on ? » ; « Mon fils est handicapé, c’est un ange, il n’a pas de sexualité ! » ; « Bravo ! À cause des groupes de parole sur la sexualité, ils ne parlent plus que de ça dans ce foyer ! » ; « À force de parler d’amour à ma fille, elle dit être amoureuse d’un garçon de l’âge de son père ! » ; « Sonia et Lydia elles disent qu’elles sont des amoureuses mais c’est dégoûtant et c’est interdit ! » ; « Je voudrais bien avoir un bébé dans mon ventre mais ma mère veut pas, il va être handicapé, elle dit ». Les exemples ne manquent pas ! Oui, les équipes accompagnent au mieux des personnes fragilisées, dites vulnérables, mais nos institutions les paralysent parfois dans des fonctionnements si éloignés d’une vie ordinaire !" (Extrait de l'article)
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