Résumé :
|
L’interruption de grossesse n’est pas un geste récent car on en recensait déjà dans l’Antiquité, avant que des considérations philosophiques et religieuses ne la fassent entrer dans la clandestinité jusqu’au début des années 1970, une époque où, dans notre pays, on recensait plus de 16.000 avortements clandestins par an (avec une mortalité qui pouvait s’élever jusque 5%). On dispose fort heureusement aujourd’hui d’un cadre légal pour le faire, mais on manque encore de directives claires en ce qui concerne les procédures et les options de dépistage pour les interruptions du 2e trimestre, sur lesquelles s’est focalisé le Pr Leonardo Gucciardo (VUB). Quant aux indications, aux modes de dépistage et aux questions éthiques, c’est le Pr Luc De Catte (UZ Leuven) qui s’est penché sur le problème
|