Titre : | Pseudo-Polyarthrite Rhizomélique (PPR): une meilleure compréhension, des avancées dans le diagnostic, le suivi et la prise en charge (2010) |
Auteurs : | B. Verlhac, Auteur |
Type de document : | Article : texte imprimé |
Dans : | La Revue De Gériatrie (9, novembre 2010) |
Article en page(s) : | p. 673-680 |
Langues: | Français |
Sujets : |
Paramédical (MeSH) Appareil locomoteur ; Arthrite ; Diagnostic ; Rhumatisme inflammatoire des ceintures ; Rhumatismes ; Sujet âgé ; Thérapeutique |
Résumé : | La Pseudo-Polyarthrite Rhizomélique (PPR) est une maladie relativement fréquente, et son épidémiologie varie selon les différentes études, touchant 0,1 à 0,5% de la population de plus de 50 ans et jusqu'à 2% après 60 ans ou plus, avec une incidence pour la population plus de 50 ans rapportée entre 19 et 112 pour 100 000 (avec l'auancée en âge et il y a un rapport Homme: Femme de 1:2). Elle a été décrite sous le terme de pseudo polyarthrite rhizomélique, en 1953, en France, par Jacques Forestier, et en 1957 par Barber sous celui de Polymyalgia rheumatica (PMR). Le diagnostic peut présenter un défi difficile à relever au premier abord car il n'existe aucun test spécifique, et le diagnostic dépend de la présence d'un index de suspicion élevé reposant sur l'analyse de l'histoire de la maladie, de l'examen clinique et la présence de marqueurs de l'inflammation. Depuis 1997, un comité de l'EULAR (European League Against Rheumatism) a été formé afin de mieux définir les critères de diagnostic et la gestion du traitement. |