Titre : | Gunaïkeia, 10 - décembre 2009 |
Type de document : | Bulletin : texte imprimé |
Paru le : | 15/12/2009 |
Année : | 2009 |
Format : | 336 p. |
Langues: | Français |
Dépouillements
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Willem Ombelet, Auteur ;
Maya Ruymbeke, Auteur
| 2009
L’oligo-ovulation et l’anovulation sont des causes fréquentes d’hypofertilité. Depuis des dizaines d’années, le citrate de clomifène est le traitement privilégié pour les patientes souffrant d’oligo-ovulation ou d’anovulation du groupe II de l’OMS. Environ 80% d’entre elles sont atteintes du syndrome des ovaires polykysti...
Article : texte imprimé
2009
La société internationale des maladies vulvaires (The international Society for the study of vulvar disease) est un groupe d’experts internationaux d’environ 200 gynécologues, dermatologues, pathologistes, spécialistes des maladies infectieuses, qui se sont tous distingués dans un domaine ou l’étude des maladies vulvaires. L’ISSVD a pour object...
Article : texte imprimé
2009
A la KULeuven, le professeur Frédéric Amant dirige l’étude sur le traitement du cancer chez les femmes enceintes et les conséquences de celui-ci sur le développement de leurs enfants. Dans sa thèse de doctorat sur la chimiothérapie pendant la grossesse, Kristel Van Calsteren présente de nouvelles connaissances scientifiques.
Article : texte imprimé
Tim Van den Wyngaert, Auteur
| 2009
L’ostéonécrose de la mâchoire (ONM) est une entité clinique relativement récente, associée à l’utilisation de bisphosphonates. Vu le caractère souvent iatrogène de l’ONM consécutive à une extraction dentaire, la prévention se base sur le principe fondamental de l’abstention de tous traumatismes dentaires chez les pa...
Article : texte imprimé
Rachid Akhsay, Auteur ;
Sabah El Amrani, Auteur ;
Dominique Lipombi, Auteur ;
Louise Watkins, Auteur ;
François Gielen, Auteur
| 2009
Les lésions iatrogènes secondaires aux interventions gynécologiques sont de loin la cause la plus importante des lésions de l’uretère. Etant donné que de telles lésions ne sont pas fréquentes et apparaissent souvent plusieurs jours, voire plusieurs semaines, après l’intervention chirurgicale, elles sont rarement suspectées. Un diagnostic pr...