Résumé :
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Pour répondre aux défis de la mondialisation, la gestion des entreprises ne peut plus être laissée aux seuls capitalistes. Libéraux et marxistes partagent une vision commune de l'entreprise où chacun poursuit son intérêt propre : les patrons, leur profit, et les travailleurs, leur salaire. Cette vision réductrice ne prend pas en compte la réalité des entreprises et la diversité des investissements des uns et des autres. Démocratiser la gouvernance passe par l'instauration du "bicaméralisme", une chambre étant constituée de représentants du capital financier, et l'autre, de représentants syndicaux. (Extrait de La revue nouvelle, n°5, mai 2013, p. 84)
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