Résumé :
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Les partenariats de PSA et Renault avec le constructeur chinois Dongfeng peuvent être une opportunité… ou un piège. Pour le meilleur ou pour le pire, l'avenir des constructeurs automobiles français semble désormais passer par la Chine. L'américain General Motors (GM) a créé la surprise à la mi-décembre en annonçant qu'il s'apprêtait à sortir du capital de PSA Peugeot Citroën, dont il avait pris 7 % début 2012. Les deux constructeurs affichaient alors leur intention de partager des pièces et des plates-formes et de mutualiser leurs achats en Europe. Avec en ligne de mire un possible rapprochement de plus grande ampleur. Las ! Les synergies n'ont pas été à la hauteur des espoirs des deux partenaires et GM ne s'est pas révélé être l'allié dont rêvait PSA pour grandir. (Extrait d'Alternatives économiques, N°331, janvier 2014, p.25)
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