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Résumé :
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"Art ou vandalisme ? Telle est la question aussi vieille que les tags et graffs eux-mêmes. Mais l'arrivée des graffeurs dans les galeries, les recherches qui leur sont aujourd'hui consacrées dans le monde académique tout comme leurs collaborations lucratives avec l'industrie et parfois même leur adoubement par les pouvoirs publics ont fait bouger les lignes. En voie d'institutionnalisation, le graffiti est soumis à de nouveaux critères d'appréciation et non plus au seul jugement des pairs. Pour autant, les actions illégales n'ont pas déserté les murs - loin de là." (Luong, 2014, p. 16)
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